Mariée et mère de deux enfants, Amié Yolande épouse Ado, candidate indépendante à la mairie de Grand-Lahou, est fille et cadre de la même ville. Elle est diplômée de l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC) et en Arts et Spectacles à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody d’Abidjan. Amié Yolande épouse Ado est sous directrice à l’Agence SYNPHARMA, elle mène une vie au service des autres. D’où son surnom, la « Maman de Grand-Lahou » ou « Maman yoyo ».
Officier d’état civil de la Commune de Marcory, Amié Yolande épouse Ado est une femme engagée dans le développement et le bien-être des populations qui voient en elle une oreille attentive, une proximité et le sens du partage. C’est pour cela qu’elle est surnommée la « Maman de Grand-Lahou » ou « Maman yoyo ». Un sacerdoce que la candidate indépendante à Grand-Lahou, tient, de son défunt père, Feu Nanan Amié Djomice Antoine, ancien chef de village de Djatékêt sous-préfecture de Grand-Lahou.
A lire aussi : Elections régionales 2023 dans le Gontougo : « Je vais terrasser mes adversaires et ils vont mordre la poussière » (Adjoumani)
À cet effet, Amié Yolande épouse Ado est la présidente de l’Union des Femmes Autonomes de Côte d’Ivoire (UFACI), elle est aussi fondatrice de l’ONG « Lueur d’Espoir pour Tous ». Ses actons en faveur des veuves, orphelins et personnes en difficultés ont fait d’elle une personne comptée au nombre des personnalités toujours présentes aux premiers rangs des luttes. Militante des droits de la femme et de la petite enfance, elle vient d’ouvrir le tout premier Centre d’accueil, d’écoute et de suivi pour jeunes filles à Grand-Lahou avec pour objectifs la culture de l’excellence, la prise de conscience et le changement des mentalités de la jeunesse.

Le candidat du Rassemblement des Houphouetistes pour la démocratie et la paix (RHDP) aux élections municipales de Grand-Lahou (sud, région des Grands ponts), Ali Sissoko la femme, elle met toujours un accent particulier sur l’indépendance et l’autonomisation de la femme en milieu rural avec des dons de matériaux aux femmes pour la transformation du manioc. Elle propose des ateliers de formations et des campagnes d’informations et de sensibilisation sur des sujets et thèmes importants de société. Elle parraine de nombreuses activités socio-culturelles et distribue gracieusement les tenues et kits scolaire aux élèves.
« Nos gouvernants, qui traînent les pas dans la promotion, la valorisation, l’autonomisation et l’amélioration des conditions de vie de la femme, je souhaite plus d’initiative et d’implication. Aux femmes, je les invite à plus de volonté et surtout à développer et de mettre en évidence leur incontournable leadership au service de leur nation », a-t-elle fait remarquer. « Il nous faut donc un esprit fort et des initiatives socio-culturelles collectives adaptées à nos réalités car le monde s’incline devant les intelligences et non devant la beauté », a-t-elle exhorté.
Cliquez ici pour vous abonner à lvoir’Hebdo, meilleur journal d’investigation de Côte d’Ivoire et première meilleure vente
Rappelons que Ali Sissoko et Gnangni Daniel sont respectivement candidats du Rassemblement des Houphouetistes pour la démocratie et la paix (RHDP) et du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) aux élections municipales de Grand-Lahou.
Lucien Kouaho (stagiaire)