Guillaume Soro et ses partisans sont ce « roseau qui plie mais ne rompt pas » dont parle Sylvie Gremmel dans son œuvre tant l’ancien président de l’Assemblée nationale, ses collaborateurs et ses partisans ont su et savent faire preuve de résilience face à la barbarie et toutes les méchancetés à eux imposées par le régime Ouattara depuis plus de cinq ans. Frappés de plein fouet par la violence du régime Rhdp, le camp Soro a par moment plié mais jamais, n’a rompu.
Koné Kamaraté Souleymane, vice-président de Générations et Peuples Solidaires est l’un des symboles de cette résilience des proches de l’ancien premier ministre. Emprisonné deux fois sous la gouvernance d’Alassane Ouattara ( 2016 et 2019) , l’ambassadeur plénipotentiaire continue d’être l’objet d’harcèlement par le système de celui dont il a fortement contribué à l’accession au pouvoir aux côtés de Guillaume Soro. Englué dans une procédure judiciaire avec des reports incessants depuis mi 2025, Koné Kamaraté Souleymane étant hier encore convoqué devant le tribunal de première instance de Plateau pour se voir notifier un autre report.
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Comme cela est devenu une coutume, les militants et sympathisants de GPS ont profité de l’occasion pour faire montre de leur solidarité, leur engagement et leur détermination à être aux côtés de leurs leaders. Ils etaient nombreux hier mardi à accompagner leur vice-président Soul To Soul au tribunal. Pour celui qui ne maîtrise pas les contours de cette histoire, cela peut paraître anodin. Et pourtant, la mobilisation des partisans de l’ex leader estudiantin pour accompagner leur vice-président au palais de justice est plein de sens. En effet, lorsque le régime Ouattara déployait sa batterie de barbarie contre les partisans de Guillaume Soro, l’idée derrière la tête était dans un premier temps de sonner le glas de la carrière et les ambitions politiques de ce dernier.
Dans un second temps, la finalité cette violence injustifiée était de faire peur aux militants de Générations et Peuples Solidaires de sorte que ces derniers abandonnent la lutte politique aux côtés de leur leader. Malheureusement pour le camp Ouattara, cela n’a fait que renforcer leur conviction et leur engagement à mener la lutte pour l’éclosion de la patrie des possibles à leur « leader générationnel ».
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Chaque fois que les militants de GPS se mobilisent pour accompagner l’un des leurs au tribunal, c’est un pas faire la domination de la peur. C’est aussi un signal au Rhdp de son échec à tuer la flamme Soroïste.
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