Fernand Dédeh : « Notre métier de journaliste a besoin d’être revalorisé » en Côte d’Ivoire

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Fernand Dédeh : « Notre métier de journaliste a besoin d’être revalorisé » en Côte d’Ivoire
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Je pars à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne pour la célébration des meilleurs journalistes et hommes et femmes des médias ivoiriens. Ebony 2020. Célébré en 2021. En raison de la maladie à coronavirus. Notre métier a besoin d’être revalorisé, remis dans les sentiers tracés par vous, nos devanciers et nos maîtres.

Nous qui sommes de la génération intermédiaire, nous tenons aux côtés des jeunes pour les encourager, les féliciter et surtout leur rappeler que le prix Ebony n’est n’est pas seulement une récompense individuelle, une satisfaction personnelle mais la conscience d’un travail qui impacte la vie de la nation et de la presse. Ebony n’est pas un prix pour soi.

C’est un pari sur le futur et la récompense du présent. De la qualité du travail et de la nette immersion dans la profession. L’opinion reproche tellement de choses aux journalistes! Ebony doit être le miroir du quatrième pouvoir.

Avant de partir à Yamoussoukro, je vais faire acte de présence à Biabou, dans la commune d’Abobo pour soutenir un jeune qui se bat avec ses armes, sa passion et son énergie pour aider d’autres jeunes. Inauguration du centre de lecture et d’éducation sociale de Biabou. Il n’a pas eu besoin de pleurnicher derrière les autorités ou dans leurs bureaux. Il y a cru et il l’a fait. Pour les jeunes.

Fernand Dédeh  


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