En 2019, le gouvernement ivoirien avait promis d’investir 250 milliards de FCFA dans les infrastructures sportives de la Côte d’Ivoire. 6 ans plus tard, où en sommes-nous et quels sont les résultats pour le pays sur la scène sportive nationale ? Les infrastructures sportives en Côte d’Ivoire sont en train de redéfinir la pratique du sport. Dans une décennie, c’est toute la Côte d’Ivoire qui en récoltera les fruits.
dettMeta-description : Les infrastructures sportives en Côte d’Ivoire sont en train de redéfinir la pratique du sport. Dans une décennie, c’est toute la Côte d’Ivoire qui en récoltera les fruits.
Infrastructures sportives : la révolution ivoirienne
En 2019, le gouvernement ivoirien avait promis d’investir 250 milliards de FCFA dans les infrastructures sportives de la Côte d’Ivoire. 6 ans plus tard, où en sommes-nous et quels sont les résultats pour le pays sur la scène sportive nationale ?
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H2 L’envol des paris sportifs
Le gouvernement ivoirien a tenu parole. Avec les infrastructures, le sport s’est développé et les paris sportifs aussi. Plus de 500 sites permettent de parier en ligne dans le pays, et des spécialistes proposent les bons plans, comme sur 1promo.codes. Le consulter, c’est la meilleure façon de ne pas se perdre et de comprendre tous les secrets des paris en ligne.
La CAN de 2024, pour laquelle la majeure partie des infrastructures étaient destinées, a forgé une fanbase de parieurs en ligne qui ne désemplit plus. La fièvre des paris sportifs enivre toujours la Côte d’Ivoire, et les gros gains ne sont pas rares. Chaque parieur utilise en moyenne 2 logiciels pour parier en ligne. Alors, avant de vous lancer et d’installer n’importe laquelle sur votre mobile, renseignez-vous d’abord sur un site spécialisé, comme celui d’1promo codes.
H2 Des infrastructures sportives dans toutes les grandes villes
Grâce à la CAN 2024 et aux investissements colossaux que demandait l’organisation de cet évènement continental majeur, le football est bien évidemment ressorti comme le grand vainqueur. Mais le gouvernement n’a pas oublié les autres sports. Ainsi, à Abidjan, plusieurs piscines sortent de terre. A Attécoubé, une piscine semi-olympique est en train d’être construite. A Abobo, le projet de plus grande piscine olympique du pays est sur les rails. A Marcory, l’Institut National de la Jeunesse et des Sports va aussi bénéficier d’une piscine olympique. Dans les deux cas, la première pierre a été posée par les édiles locales et nationales.
Des sites multisports ont aussi été créés dans tout le pays. Dès 2019, l’agora de Koumassi était terminée et pensée comme un environnement multimodal. De terrains de sport, l’agora peut aussi être transformée en scènes de concerts ou de pièces de théâtre. 4 ans plus tard, c’est l’agora d’Abobo qui entrait en fonction. Là encore, le but affiché est de marier le sport et la culture en un endroit où tout le monde peut se retrouver. Ainsi, à deux pas des terrains de foot et de basket, se trouve une bibliothèque comprenant de nombreux ouvrages.
H2 Ne pas oublier les villes périphériques
Particulièrement au fait des problèmes d’inégalités territoriales que connaissent les pays développés, le gouvernement ivoirien a dès le début placé sa politique infrastructurelle sous le signe de l’universalité. Loin d’Abidjan, des villes bien plus petites ont également reçu des agoras. Parmi elles, on compte notamment :
- M’Batto,
- Dimbokro,
- Bingerville,
- Guiglo,
- Beioumi,
- Attécoubei.
Le gouvernement s’est fixé des objectifs ambitieux. Ce ne sont pas moins de 91 agoras qui sont prévues sur l’ensemble du territoire national. Une occasion en or de donner un nouveau souffle aux fédérations sportives.
H2 La place de la Côte d’Ivoire dans le sport mondial
Le football évidemment, mais aussi le basket ou encore le Taekwondo sont les sports dans lesquels les Ivoiriens brillent de plus en plus sur la scène mondiale. En 2024, c’est la Côte d’Ivoire qui a remporté la troisième CAN de son histoire. En mars 2025, à l’Open de Belgique, c’est Ossin Kimi qui a remporté la médaille d’or de Taedwondo. Au basket, si les hommes sont en mesure de battre n’importe quelle équipe du continent, ils sont aussi capables de rivaliser avec le Mexique, la Lituanie ou encore le Portugal.
Même contre la France, finaliste aux Jeux olympiques de Paris 2024, les basketteurs n’ont été défaits que de 10 petits points : 77 à 87. Avec la construction des agoras dans tout le pays, qui contiennent toutes un terrain de basket, il y a fort à parier que d’ici une décennie, la Côte d’Ivoire saura rattraper son retard sur les meilleures nations du basket.
Personne n’a encore jamais réussi à faire mentir cet adage : l’investissement finit toujours par payer.
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